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Réhabilitation / Ventilation et poêle à bois. VMI ?
« le: 01 mai 2011 à 11:26:17 »
Bonjour,
L'installateur de notre poêle STUV 30 réclame une entrée d'air extérieur de 100cm. Au début, j'ai trouvé que c'était une hérésie. Depuis, je me suis un peu renseignée. L'entrée d'air évite de mettre la maison en dépression et donc que l'air froid entre par les défauts d'étanchéité (fissures, joints entre maçonnerie et poutres, ect...)
Sur le principe, très bien.
Je me suis également renseignée sur les différents modes de ventilations, de la ventilation naturelle à la double flux (supertechnologicocoûteuse!). Il semblerait que la ventilation par insufflation (l'inverse d'une VMC donc) soit un bon moyen d'optimiser le tirage des appareils à combustion, de ventiler l'habitation et d'évacuer l'air via les bouches prévues pour l'arrivée d'air d'une VMC (grilles sur les fenêtres par exemple).
Donc au lieu de se contenter de la bouche d'air extérieure pour le poêle, j'envisage de mettre une insufflation d'air. Autoconstruite, au vu des tarifs (3000 à 5000€ pour un ventilateur et une résistance électrique). Le but est d'optimiser la dépense énergétique.
Petites questions :
Que pensez-vous de cette idée ?
Quelqu'un a un système similaire ?
Comment limiter l'entrée d'air froid ? (sans mettre une résistance électrique)
Je crois que l'idéal serait de profiter de l'arrivée d'air d'un puits canadien ou d'une serre bioclimatique mais nous n'en avons pas encore.
On dispose d'une grange, non chauffée et non isolée, mitoyenne au salon et de combles exposés plein sud à l'étage, là encore rampants non isolés. L'isolation est faite entre le mur du salon et la grange ainsi que les sols du grenier.
Serait-il possible de récupérer l'air dans le grenier ? Est ce que cela créerait un contre tirage ? On dispose d'une ancienne lucarne condamnée, il serait peut-être possible de la transformer en capteur à air.
Merci d'avance pour vos avis et conseils sur cette "drôle" d'idée.
L'installateur de notre poêle STUV 30 réclame une entrée d'air extérieur de 100cm. Au début, j'ai trouvé que c'était une hérésie. Depuis, je me suis un peu renseignée. L'entrée d'air évite de mettre la maison en dépression et donc que l'air froid entre par les défauts d'étanchéité (fissures, joints entre maçonnerie et poutres, ect...)
Sur le principe, très bien.
Je me suis également renseignée sur les différents modes de ventilations, de la ventilation naturelle à la double flux (supertechnologicocoûteuse!). Il semblerait que la ventilation par insufflation (l'inverse d'une VMC donc) soit un bon moyen d'optimiser le tirage des appareils à combustion, de ventiler l'habitation et d'évacuer l'air via les bouches prévues pour l'arrivée d'air d'une VMC (grilles sur les fenêtres par exemple).
Donc au lieu de se contenter de la bouche d'air extérieure pour le poêle, j'envisage de mettre une insufflation d'air. Autoconstruite, au vu des tarifs (3000 à 5000€ pour un ventilateur et une résistance électrique). Le but est d'optimiser la dépense énergétique.
Petites questions :
Que pensez-vous de cette idée ?
Quelqu'un a un système similaire ?
Comment limiter l'entrée d'air froid ? (sans mettre une résistance électrique)
Je crois que l'idéal serait de profiter de l'arrivée d'air d'un puits canadien ou d'une serre bioclimatique mais nous n'en avons pas encore.
On dispose d'une grange, non chauffée et non isolée, mitoyenne au salon et de combles exposés plein sud à l'étage, là encore rampants non isolés. L'isolation est faite entre le mur du salon et la grange ainsi que les sols du grenier.
Serait-il possible de récupérer l'air dans le grenier ? Est ce que cela créerait un contre tirage ? On dispose d'une ancienne lucarne condamnée, il serait peut-être possible de la transformer en capteur à air.
Merci d'avance pour vos avis et conseils sur cette "drôle" d'idée.